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6 octobre 2013 7 06 /10 /octobre /2013 13:32

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Je suis allongée sur mon lit, la tête confortablement réhaussée par deux gros oreillers, Maguy postée sur mon ventre et ses ronronnements qui chatouillent mon cou.

 

Je regarde autour de moi, mes doigts perdus dans le pelage si doux, et me ré-approprie peu à peu meubles, objets et souvenirs de la pièce qui m'entoure.

 

Il s'est passé tant de choses en l'espace de quelques semaines.

 

Je me souviens du vide qui s'est immiscé en moi. De la décision qui s'est imposée d'un coup d'un seul et du soulagement que j'en ai retiré. Je me souviens avoir fait calmement mes bagages, rassemblant méthodiquement tout ce qui avait fait mon été parisien pour être sûre de ne rien oublier. Je me souviens avoir passé deux coups de fil et ai été surprise de l'apaisement ressenti par mes interlocuteurs.

 

Je me souviens aussi des fous-rires échangés avec mon vrai double alors qu'on traînait derrière nous ces deux grosses valises témoins de mon besoin de remplir autrement la vacuité d'une relation fânée. Je me souviens des escaliers, des sourires échangés avec des inconnus qui nous prenaient chacune une anse, nous évitant le risque de nous faire entraîner par le poids de mes erreurs passées. Je me souviens avoir compris ici la vraie valeur du mot dévouement, alors que je la regardais me suivre dans ma fuite organisée, dans une rame de métro entre deux changements.

 

Je me souviens de l'accueil d'un couple adorable, de nos discussions jusqu'à tard le soir, d'une choucroute d'enfer, d'avoir appris ce qu'est un auditeur avec des bouteilles d'Evian et du lit qu'ils m'avaient installé dans leur salon si bien décoré.

 

Je me souviens aussi des premières nuits. De l'égrénage alangui des heures en chiffres rouges sur le boîtier free, du glissement léger des chaussons sur le parquet de l'appartement du dessus, du vent qui soufflait dans les volets et de mes rêves perturbés. Je me souviens aussi de ma surprise face aux larmes qui m'accueillaient le matin, sous la douche préférentiellement, alors que je me réchauffais l'âme en oubliant ma fatigue.

 

Je me souviens surtout des éclaircies qui venaient peu à peu illuminer ma journée : mes collègues adorables qui trouvaient les mots justes pour me faire rêver à nouveau, la douceur du regard de Roxane quand je lui livrais un sanglot, les SMS et autres coups de fil réconfortants qui venaient peu à peu panser cette blessure interne.

 

Je me souviens de l'expédition le jour J. De mon soulagement une fois mon chat récupéré et tous les trousseaux de clés bien glissés dans leur boîtes aux lettres respectives. De ce dernier tour en taxi dans Paris, alors que le soleil timide éclairait d'une jolie lumière les bâtiments chargés d'histoire. De mon dernier jour et de mes aurevoirs à cette rue, ma rue, rue de Sévigné, ainsi qu'à ses occupants attachants. Je me souviens d'elle encore, toujours là pour moi et bien décidée à me le montrer, me confiant au train qui me ramènerait aux sources, sa belle chevelure aux reflets caramel et son sourire dans l'effusion de la Gare de Lyon un vendredi soir.

 

Je me souviens enfin du soulagement ressenti en apercevant une silhouette si familière, courbée en deux pour tenter de m'apercevoir parmi les passagers. De sa joie de m'avoir rien que pour elle, de nos péripéties sur le chemin du retour et des sensations de conduite oubliées quand je retouchais à nouveau à un volant pour la soulager. Je me souviens des repas garguantuesques, des balades en forêt, des confessions peu catholiques et de nos rires mélangés. Je me souviens de mon air embêté quand elle informait tout son entourage de mon changement de statut, sa fierté quand elle me présentait à toute l'équipe du folklore et son affairement pour le voyage que nous préparions.

 

Mais je me souviens surtout de la jouissance extrême ressentie alors que je montais pour la première fois sur le petit tracteur-tondeuse, de mes relans d'enfance sucrée à la ferme, du potager et ses merveilles, de la cueillette des haricots comme des oignons rouges, de l'air frais enfin, qui venait oxyder mon coeur pollué.

 

Et la peine qui s'allège peu à peu, les horizons nouveaux d'une vie sans préméditations, l'amour unique qui se retrouve divisé mais aussi décuplé. La confiance qui renaît dans le trouble d'un regard masculin et les mots doux, toujours, d'un entourage précieux. Le plaisir aussi, d'une folie routière, d'un dépassement de soi, d'une symbiose avec l'eau lors d'un bain sans témoins au sein d'un hôtel étoilé. Ma première course, 6 km, l'expérience nouvelle de courir sur sable mouillé, les encouragements de la foule, les sourires épuisés partagés avec deux amies de la bloguosphère.

 

Puis vient aussi le grand retour, ma silhouette chargée dans le hall de la gare de Nice, la reprise tranquille d'un quotidien passionnant, me permettant de soigner profondément la blessure devenue fine cicatrice. Les retrouvailles d'avec les copines et les nouvelles rencontres aussi.

 

Les étapes d'une renaissance sont passionnantes. Brutales parfois mais aussi très douces par moment, et on comprend à travers elles toute la richesse qui fait la vie : la promesse d'un renouveau encore plus fort, la reconstruction importante de tout ce qui fait soi et les moments qui ne s'écrivent qu'entre parenthèses, à l'instant où on ouvre une portière et qu'une main nous rattrape pour nous faire goûter à des sentiments oubliés ...

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13 septembre 2013 5 13 /09 /septembre /2013 09:23

Comme chacun sait, s'habiller est pour moi une passion, un jeu avec la mode mais surtout les matières, les coupes et souvent les marques aussi que j'aime assembler au gré de mes acquisitions.

 

Seulement voilà, à un moment pour ne pas étouffer sous trop de vêtements (et pour récupérer le budget que cela occupe) il faut apprendre à alléger sa garde-robe, à trier ce qui finalement nous a amusé un instant et ce qui durera (presque) toute la vie. Comme les coupes budgétaires il faut opérer des coupes vestimentaires.

 

C'est donc dans cette démarche de "faire du tri" mais surtout du vide, de la place dans mon dressing que je me suis crée un compte sur videdressing.com (cf lien : link).

 

Pourquoi ce site de revente d'occasion plutôt qu'un autre ? Parce qu'il est facile d'utilisation, sûr (le site protège à la fois l'acheteur et le vendeur en recevant le montant de la transaction payée par l'acheteur et ne la reversant au vendeur qu'une fois la vente validée et l'objet bien reçu et accepté par l'acheteur) et que leur commission est de seulement 10% sur le prix de revente (contre 50% en dépôt-vente classique et 15€ pour des articles dont le prix est inférieur à 50€ puis une commission dégressive mais toujours plus importante que VD sur l'autre site très connu : Vestiaire Collective (cf lien :link)).

 

Je revends aussi beaucoup sur Ebay (cf lien : link) mais j'y ai déjà rencontré de mauvaises surprises (acheteurs ou vendeurs malhonnêtes) et trouve que c'est un site d'occasion assez "cheap" donc correspondant plus à des objets ayant déjà servis ou de faible prix, les acheteurs qui s'y prommènent cherchant avant tout à y faire de bonnes affaires. De plus il y a également une commission prélevée par Ebay sur les ventes + une commission de Paypal si vous acceptez ce moyen de paiement qui vous garanti d'être payé par l'acquéreur.

 

Pour se créer un compte sur Videdressing il suffit de se diriger en haut et à gauche de la page du site et de choisir ses nouveaux identifiants.

 

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Vous aurez ainsi accès à plusieurs services comme :

- un espace paiement : avec vos coordonnées bancaires et votre porte-monnaie fictif (l'argent perçu par videdressing au moment de la vente d'un de vos objets est reversé sur ce porte-monnaie et vous avez après tout le loisir de faire un virement de ce porte-monnaie vers votre compte bancaire personnel sans aucun frais).

- un espace préférences : avec votre wish-list (où vous pouvez épingler des annonces d'autres vendeurs qui vous plaise et d'objets dont vous voulez suivre la vente) et vos alertes (si vous recherchez un objet précis comme par exemple : "robe sandro verte 34" videdressing vous enverra un mail en cas de publication d'une annonce correspondant à vos critères de recherche).

- un espace achats : avec le suivi de vos commandes et de vos possibles retours.

- un espace ventes : où vous pouvez suivre les commandes passées par d'éventuels acheteurs, visualiser votre "boutique" en ligne, mettre en vente un article, gérer votre "catalogue" ou signaler vos absences (si vous partez en vacances par exemple).

 

 

Ensuite vous pouvez très facilement mettre en ligne une annonc, en allant donc dans l'espace "mes ventes" et en cliquant sur l'onglet "Mettre en vente un article". Vous allez avoir accès à un formulaire à remplir ligne par ligne afin de bien décrire votre produit, le plus fidèlement possible :

 

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Les informations concernant la livraison sont importantes car cela déterminera les options d'achat proposées à l'acheteur :

- livraison par colissimo (avec numéro de suivi) = vous enverrez votre objet en colis (que vous pouvez concevoir vous même en réutilisant une boîte à chaussures ou un ancien emballage plastique, recouverts de gros scotch marron) avec une étiquette colissimo (voir mon article sur l'affranchissement en ligne sur le site colissimo : J'ai testé ... le service affranchissement de colis en ligne de la poste)

Que vous pouvez vous procurer en agence (service affranchissement) ou sur internet. Vous devrez garder précieusement le numéro de suivi du colis que vous enverrez car celui-ci vous sera demandé par Videdressing afin de transmettre l'information "objet envoyé" à l'acheteur et de vérifier la bonne réception de ce dernier.

Ce sera à vous d'avancer les frais d'envoi de votre objet, qui vous seront remboursés par la suite par Videdressing, étant facturés à l'acheteur en même temps que votre objet.

- livraison par lettre max = convient pour de petits objets, de moindre valeur. Je vous conseille au début d'utiliser exclusivement la livraison par colissimo ou la remise en main propre.

- remise en main propre = c'est vous qui remettrez directement votre objet à l'acheteur lors d'un RDV convenu entre lui et vous après que Videdressing vous ait transmis son numéro de téléphone. Là aussi il faudra bien veiller à ce que l'acheteur vienne au lieu de RDV avec son "bon d'achat" constitué d'une série de chiffres et qu'il vous le remette contre l'objet afin que vous puissiez entrer cette série de chiffres sur le site pour prouver à videdressing que l'objet a bien été remis et que la vente est donc conclue.

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Une fois le formulaire rempli vous pourrez consulter votre annonce, publiée dans votre "boutique" en ligne :

 

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Et au bout de quelques articles vous vous serez constitué un joli catalogue que vos acheteurs potentiels pourront consulter sous la forme suivante :

 

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Sachez que le temps de création d'une annonce ne dépasse généralement pas 5 min et qu'elle est aussitôt traitée par le site et mise en ligne, donc effective.

 

Alors, prêt(e)s à (re)vendre sur Videdressing.com ? :)

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9 septembre 2013 1 09 /09 /septembre /2013 22:06

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Il y a des lectures qui nous font passer de bons moments, d'autres qui nous font pleurer, et puis il y a les livres qui n'arrêtent pas de nous faire rire et certains encore, réfléchir.

 

Il y a des livres dont on nous a parlé et que la page de couverture zen et épurée finit par nous séduire, sans compter leur titre : "L'homme qui voulait être heureux" de Laurent Gounelle fait partie de ceux-là.

 

Résumé :

 

"Imaginez ...

Vous êtes en vacances à Bali et peu de temps avant votre retour, vous consultez un vieux guérisseur. Sans raison particulière, jusque parce que sa grande réputation vous a donné envie de le rencontrer, au cas où ...

Son diagnostic est formel : vous êtes en bonne santé, mas vous n'êtes pas ... heureux.

Porteur d'une sagesse infinie, ce vieil homme semble vous connaître mieux que vous-même. L'éclairage très particulier qu'il apporte à votre vécu va vous entraîner dans l'aventure la plus captivante qui soit : celle de la découverte de soi. Les expériences dans lesquelles il vous conduit vont bouleverser votre vie, en vous donnant les clés d'une existence à la hauteur de vos rêves."

 

On m'avait promis un voyage spirituel autant que culturel et je n'ai pas été déçue.

 

Bali me faisait déjà rêver depuis un petit moment et la zénitude des paysages décrits par l'auteur a définitivement réussi à me faire fantasmer sur ce petit îlot de paradis. La plage de sable blanc, les petites embarcations de pêcheurs, la douceur d'une mer tiède offrant un écrin parfait pour des bains de nuit, la nature tropicale encadrant de jolies cabanes en bois, bref un endroit où le temps s'arrête au profit de l'instant.

 

Mais hormis le cadre qui laisse le lecteur plus que rêveur, il y a aussi et surtout les rencontres avec le vieux guérisseur qui nous bouleversent autant que l'auteur. Car le constat qu'énonce ce vieil homme nous concerne tous : ne sommes-nous pas tous prisonniers des barrières que nos croyances construisent tout autour de nous ?

 

L'amour, le bonheur, la famille, l'argent, la mort mais surtout les choix que nous sommes ammenés, ou pas, à faire, tout ceci est évoqué avec une grande sagesse qui ne peut pas nous laisser indifférents.

 

On sort donc grandi d'une telle découverte littéraire, ne souhaitant plus qu'une chose une fois la dernière page du livre tournée : que la magie continue et nous en apprenne d'avantage sur la vie, notre vie, en lisant les autres récits de Laurent Gounelle.

 

Chose que je vais m'empresser de faire, en me mettant en quête des "dieux voyagent toujours incognito" et "le philosophe qui n'était pas sage".

 

Et vous, avez-vous déjà découvert cet auteur atypique ?

Passez une belle journée ;)

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3 septembre 2013 2 03 /09 /septembre /2013 11:13

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Ces photos datent de la semaine dernière, immortalisant les derniers (beaux) jours d'août. J'étais tout heureuse d'étrenner le joli haut Ikks rapporté du Sud par ma fidèle Clémence et mon nouveau blouson en cuir Oakwood couleur bleu marine. C'était aussi l'occasion de nos retrouvailles après les vacances de ma super Roxane (cf blog le Canard des Lapines : link) et de nos discussions toujours aussi animées autour d'une crêpe ou deux au sein du parc Montsouris.

 

J'ai adoré cet endroit, encore inconnu, du parc avec ce joli théâtre Guignol et ses couleurs vitaminées. Autres nouveauté de mon dressing : ces jolies sandales Maje, dénichées au début du mois d'août au stock Maje rue du Cherche-Midi à Saint Germain.

 

Côté bijoux je suis assez sobre en ce moment et dans une période or jaune : je porte ainsi mes jolies BO "Life is Magnifique" reçues pour Noël il y a deux ans de la part de mon amoureux et ce bracelet jonc très fin avec son lien en coton rose, fabriqué par une chouette créatrice parisienne que j'ai eu le plaisir de rencontrer cet été : Fanny Blanche.

 

Survoltée, Fanny présente un univers très féminin emprunt de simplicité et mêlant pierres semi-précieuses et matériaux plus simples mais non moins nobles. Garantis 10 ans ses bijoux sont d'un incroyable rapport qualité/prix et d'une finesse qui ne m'a pas laissée indifférente. Cependant la miss ne possède pas d'e-shop sur internet et si vous souhaitez jeter un oeil à ses créations il faudra passer par Paris, chez "Sixième" au 22 rue de Sévigné (dans le marais) ou au 40 rue du Dragon (Saint Germain).

 

Sur ce je vous souhaite une excellente journée et une bonne rentrée à tous les écoliers ! ;)

 

 

Guignol Spirit :

 

Jean Zara (collection été 2012)

Perfecto cuir bleu marine Oakwood (collection actuelle, disponible en boutique Sixième)

Top Ikks fleuri (collection été 2012)

Cabas Vanessa Bruno (Collection été 2012)

Sandales Maje (Collection été 2012 - actuellement toujours soldées en stock)

Jonc plaqué or Fanny Blanche (Collection permanente, actuellement en boutique Sixième)

 

 

Et un énorme merci pour les photos à ma Roxane préférée ! ;)

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30 août 2013 5 30 /08 /août /2013 10:58

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Aujourd'hui, pour célébrer la rentrée toute proche et la reprise de publications plus régulières sur le blog, je vous propose un joli portrait de créateur afin de vous faire découvrir les jolies créations florales de Bloomingbird Factory ! :)

 

"Bonjour et bienvenue sur Pillapon !
Mais tout d'abord présentez-vous … Qui se cache derrière ces jolies créations ?
 
Bonjour ! Je m'appelle Stéphanie, j'ai 31 ans et je vis à Paris.

 

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Quel a été votre déclic création ? D'où vous est venue cette idée de créer puis de commercialiser vos créations ?

J'ai toujours aimé fabriquer des choses, cela dit je n'étais pas a priori destinée à créer des bijoux! Je fais un travail de bureau durant la journée. J'ai découvert la plate-forme de vente en ligne etsy il y a deux ans, et j'ai immédiatement accroché avec l'idée directrice du site: acheter un objet créé par quelqu'un, en série limitée, avec des méthodes et des techniques artisanales, voilà qui change de la grande distribution. Il m'a fallu un an de shopping pour réaliser que j'avais peut-être, moi aussi, ma chance sur etsy !


Je me suis immédiatement orientée vers les bijoux par goût personnel et parce que je trouve qu'il y a un réel manque dans ce domaine, entre les créations de luxe extrêmement chères (inabordables, en ce qui me concerne), et les bijoux fantaisie qu'on risque de voir portés par des dizaines de personnes. J'ai voulu créer une ligne de bijoux abordables, et uniques (les pièces sont fabriquées en série limitée: peu de chance de les retrouver aux oreilles de votre voisine !).

 

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Quelles sont vos inspirations ? Avez-vous des moments particuliers pour créer ?

J'aime les couleurs, le mélange de l'or et des perles, et la céramique. Ma collection printemps-été 2013 est directement inspirée par les imprimés fleuris aux couleurs vives, les pastels, et la tendance néon.
J'aime créer en fin de journée, quand la lumière est douce et que je peux occuper mes mains tout en laissant mon esprit vagabonder.

 

A quoi ressemble votre "atelier" ?

Mon "atelier" ne ressemble pas à grand chose, pour le moment ! Je travaille sur la table de ma salle à manger, à la lumière du jour, une tasse de thé à portée de main.

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Quelle est la création dont vous êtes la plus fière ? 

Ma première paire de boucles d'oreilles ! (aujourd'hui, ce ne sont plus mes préférées, mais ce sont avec elles que tout a commencé !)

 

Avez-vous des projets ?

J'ai mis au point une collection "bell flower", réalisée avec des tulipes en cuivre que je peins et vernis moi-même, et dans lesquelles j'insère des perles gouttes facetées ou des pierres. J'aimerais lancer bientôt une nouvelle déclinaison à base de cuir... Mais je ne vous en dis pas plus, rendez-vous sur ma boutique etsy !"

 

 

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Ce portrait vous a plu et donné envie de jeter un oeil aux créations de Stéphanie ?

 

Voici le lien vers sa boutique Etsy (cf lien : link) et comme, en plus d'être talentueuse, cette super créatrice est une crème de gentillesse, elle vous offre 10% de réduction valable sur votre première commande avec le code PILLAPON10 ! :)

 

Alors profitez-en !

 

 

--------------------------------------------Testé ET Approuvé---------------------------------------------------

 

Ce qui m'a tout de suite plu en découvrant la boutique de Bloomingbird Factory sur Etsy ce sont les jolies couleurs utilisées par la créatrice mais surtout la superbe présentation de chaque pièce avec son inspiration florale ou naturelle qui fait l'effet d'une bouffée d'air frais ! :) Ca a été un gros coup de coeur et je ne pouvais pas ne pas vous faire découvrir son travail et la poésie qui s'en dégage.

 

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J'ai eu énormément de mal (comme toujours) à choisir un bijou parmi les si jolies créations de Stéphanie pour finalement me décider pour ce très joli collier "Black and gold geometric" (cf lien : link).

 

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A sa réception j'ai tout d'abord été charmée par son joli emballage et puis par la finesse et la qualité du travail de Stéphanie.

 

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A peine reçu, déjà au tour du cou ! :) Il m'a accompagné tout l'été dans mes aventures parisiennes et ne s'est pas du tout oxydé (quel soulagement pour moi, l'oxydation étant le seul et principal hic des bijoux fantaisie), n'altérant pas le plaisir que j'ai à le porter ! :)

 

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Mais le choix n'a pas été évident et je craque totalement pour les jolies BO peintes à la main que propose Stéphanie ! Je trouve que ses petites clochettes ont un peps et une poésie qui font toute sa signature.

 

Et vous, quelle est votre bijou préféré parmi les créations de Bloomingbird Factory ? :)

 

Passez un chouette week-end !

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25 août 2013 7 25 /08 /août /2013 16:10

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Il pleut.

 

Je marche sur le bitume, slalomant entre les flaques qui se forment sur la chaussée.

Mes petites ballerines dérapent un peu sur le sol glissant et je dois m’appuyer plus fortement sur mes talons à chaque pas.

 

Abritée par un grand parapluie marron mon regard croise quelques têtes capuchées et autres ombres en k-way.

 

Je descends les quelques marches qui permettent d’accéder à la petite place du village et rencontre un crissement singulier sous mes semelles lorsque j’atteins le sol. Un gravier très léger m’accueille, transformé par l’eau en un semblant de sable, grossièrement taillé.

 

Mais cela suffit à mon imagination pour baisser encore un peu plus mon parapluie, de manière à ne plus avoir comme horizon que cette étendue de sable et mes pieds crissant à son contact.

 

Je ferme les yeux et m’imagine la mer pas loin.

Le bruit de la pluie devient un joli clapotis des calmes vagues que ramène le vent sur la plage.

J’imagine un port d’attache, des bateaux de pêcheurs rentrant de leurs aventures maritimes, le poisson frais qui se vend déjà sur le quai.

J’imagine aussi le cri des mouettes, l’odeur des embruns, la multitude colorée de coquillages formant un sillon anarchique sur le sable, le temps qui s’arrête enfin.

 

Mais également l’odeur du cidre, de la pâte à crêpes et les éclats de voix qui s’échappent d’une taverne toute proche, le rire d’enfants en vêtements de pluie jaune courant sur la plage déserte.

 

J’imagine mes cheveux lâchés revenant sur mon visage au gré des envies du large, le goût du sel sur mes lèvres, ma langue qui s’y promène pour y goûter.

 

J’imagine un ciel rempli de nuages, s’effaçant parfois pour laisser le soleil tenter une éclaircie. J’imagine un horizon lavé de tous soucis.

 

Mes mains s’enfonçant dans les poches de ce double auquel je m’attache sans compter. La chaleur de son corps perceptible au travers du tissu lourd, le frisson que cela déclenche le long de ma colonne vertébrale.

 

Le vent ramène sur mon visage quelques gouttes de pluie qui me font sursauter.

Je suis au milieu de la grande place d’une ville en région parisienne, mes cheveux légèrement trempés par l’inadvertance de mon parapluie qui s’est mis à glisser pendant mes rêveries, en quête d’une boulangerie encore ouverte un dimanche midi.

 

Quelques inconnus se sont arrêtés pour m’observer, je remonte mon parapluie et quitte à regrets ce simili sable qui m’a permis de rêver quelques secondes et m’échapper ainsi  de ma routine habituellement toute calculée.

 

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15 août 2013 4 15 /08 /août /2013 22:55

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Elle a peut-être cinquante ans. Son visage est marqué, de fines rides encadrent ses yeux, ses cheveux châtains sont teints en blond cendré, elle avance à tâtons mais jamais à reculons dans la vie.

Son rire se transforme systématiquement en quinte de toux, héritage des cigarettes qu’elle fume par paquets tout au long de la journée. Elle a cet air un peu sauvage, un peu sage, aussi. Malgré le grain de folie de ses propos, les jolis mots fusent et témoignent d’une certaine aisance verbale, d’une jolie culture.

Elle a de quoi m’étonner, et je ne me lasse pas de l’observer. Elle a ce côté très maternel qui m’attire tout de suite, une tendance à embellir les échanges du quotidien par de jolis surnoms. Ma beauté. Mon chat. Mon amour. Ma toute belle.

Cette chaleur qu’elle donne me fait du bien, ses attentions toutes simples me caressent de leur douceur maternelle qui me fait actuellement défaut. Comme si elle le sentait. Comme si elle savait.

Rien que le diminutif de son prénom pourrait la résumer tout entière. Béa. Un cocktail molotov de bonne humeur avec des éclats de douceur. Une partie d’un grand tout, une carapace qui peine à contenir un trop plein d’amour.

«Je suis sûre qu’elle boit aussi, ça se voit, ça se sent, elle le porte sur son visage.» Ces mots prononcés par une autre de mes collègues me font du mal. Peut-être parce que moi je suis incapable de savoir ces choses-là. Peut-être parce que ce genre de «secret» lui appartient et ne me regarde en rien. Et que d’entendre d’autres le supposer me la salissent un peu, l’abîment d’un préjugé de plus, la plombent d’un boulet supplémentaire accroché à ses fines chevilles.

Elle porte des converses blanches. Basses. Avec les coutures et le logo de la marque rouges. Elle me dit que c’est la seule couleur de converse qu’elle peut porter, que l’image de la marque selon elle c’est cette non couleur symbole de pureté avec son fin liseré rouge. Et je la comprends. Même si les miennes sont beiges.

Elle a trois filles et un petit fils qu’elle aime à la folie. Je connais tous leurs prénoms, leurs habitudes, leurs galères et leurs bonheurs, leur vie passée au filtre de son amour maternel. Elle dit d’ailleurs qu’elle veut m’adopter. Qu’elle avait toujours voulu avoir quatre filles et que j’ai le même âge que sa dernière. Moi je l’écoute et je ris. Beaucoup.

Elle se lance corps et âme dans ses projets, son boulot, ses enfants et l’amitié qu’elle offre facilement aux personnes qui lui semblent la mériter. Car «dans la vie il y a autant de belles personnes que de vilaines. Il faut juste faire le tri. Un tri sélectif géant bénéfique pour avancer dans la vie, bien entourée des bonnes personnes. Celles qui nous soutiennent, nous aiment, nous comprennent, nous apprennent quelque chose, nous font du bien tout simplement.»

Et Béa me fait du bien. Comme il paraît que je lui en fais en retour. Je ne pensais pas aux effets secondaires que pouvait engendrer l’envoi d’un tout petit SMS, écrit dans la quiétude d’une fin de soirée et d’un début de nuit, happée par la magie de quelques lignes tirées du roman que je lisais : «Elle était aussi énergique, aussi intolérante et sage, aussi gentille et brusque que toujours.Les années l’avaient caramélisée, comme une pomme d’amour.» J’ai trouvé que cette définition lui convenait tout à fait et je n’ai pas pu m’empêcher de lui envoyer. Car c’est important de dire aux personnes qui comptent pour vous que vous pensez à elles.

Mais j’ai du mal à recevoir autant d’une personne qui m’était encore inconnue il y a de ça quelques semaines. Je me méfie, je me protège. Je me dis que mon CDD se termine dans moins d’un mois, qu’alors je quitterai Paris pour revenir à ma petite vie Niçoise, bien occupée par ma dernière année d’études. Et que cette belle relation de travail restera ce qu’elle est, une jolie parenthèse dans mon apprentissage de la vie. J’ai peur qu’elle s’attache trop à moi. J’ai surtout peur de la décevoir. Comme je déçois ma propre mère. A avoir autant de tendresse en soi et à recevoir tout ce que veulent bien me confier les autres me rend très fragile, je me perds dans les désirs des autres en oubliant les miens.

Je suis à une période de ma vie où je ne sais pas bien où j’en suis et où je vais. Mais contrairement aux apparences ça ne me déplaît pas finalement. L’horizon des possibles s’ouvre enfin, cette période de la vie que j’attendais avec tant d’impatience étant enfant est enfin arrivée, je vole (presque) de mes propres ailes.


L’amour c’est vraiment pas évident. Alors je continue d’apprendre en vivant, voyageant, travaillant et en rencontrant de nouvelles personnes.

Et Béa fait partie de mes belles rencontres de l’été. Avec un petit truc en plus, ce besoin d’amour ou simplement d’une oreille prête à écouter ses confidences, cette façon qu’elle a d’affronter la vie qui semble lui présenter, en retour, que des obstacles.

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6 août 2013 2 06 /08 /août /2013 09:00

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Ces dernières semaines je dévore littéralement ma PAL (Pile - de bouquins-  A Lire) entre mes trajets de métro et mes matinées un peu calmes au magasin. Je suis donc heureuse de pouvoir vous donner mon avis sur deux nouveaux petits chefs d'oeuvre : Rosa candida et La douceur des hommes.

 

C'est parti ! :)

 

# Rosa candida d' Audur Ava Olafsdottir (écrivain Islandais) - offert par Mélusine ma swapée de juin -

 

"Dans le monde d'Arnljotur, vingt-deux ans, il est question de boutures, de graminées et surtout de sa fierté, les roses à huit pétales, les Rosa candida. Sa passion dans la vie : le jardin et les fleurs. Une nuit, dans une serre, Arnljotur et Anna s'aiment. Il se connaissent à peine, pourtant leurs existences en seront chamboulées à jamais car, en Islande, les filles naissent bien dans les roses ..."

 

J'ai été un peu perturbée puis amusée par les descriptions de l'auteur des paysages islandais, qui nous font nous demander si l'histoire se passe sur une autre planète que la Terre, cette dernière parlant souvent notamment de champs de lave.

 

Concernant l'histoire, on plonge véritablement dans le chaos des pensées d'un jeune homme au commencement de sa vie, structuré par sa passion des plantes mais chamboulé par un flot de sentiments mêlant la mort, la paternité et l'enfance lors de son périple vers un jardin idyllique qui lui est donné de remettre en état.

 

Spiritisme, sentiments amoureux, responsabilités, magie de l'instant présent et rencontres en tous genres, voilà ce que nous fait vivre ce roman un peu à part, aux émotions à fleur de peau, nous faisant frissonner entre deux pages d'une délicatesse pareille aux doux pétales d'une rose.

 

"Tant de délicatesse à chaque page confine au miracle de cette Rosa candida, qu'on effeuille en croyant rêver, mais non. Ce livre existe et il faut le lire." Le Point


 

# La douceur des hommes de Simonetta Greggio (écrivain Italienne) - offert par mon libraire -

 

"Toute ma vie, j'ai aimé, bu, mangé, fumé, ri, dormi, lu. De l'avoir si bien fait, on m'a blâmée de l'avoir trop fait. je me suis bagarrée avec les hommes pendant plus de soixante ans. Je les ai aimés, épousés, maudits, délaissés.

Je les ai adorés et détestés, mais jamais je n'ai pu m'en passer ... La chaleur des hommes, qui m'a si bien enveloppée, ne fait que me rendre plus odieux ce grand froid qui avance. Il n'y a pas de bras assez puissants pour m'en préserver, dans la nuit qui vient."

 

Petit poche qui m'était donné à choisir parmi une foule d'autres romans offert dans le cadre de l' opération "Livre offert pour deux titres du Livre de Poche achetés" fêtant les 60 ans du Livre de Poche. Je l'ai choisi pour la quatrième de couverture, cette poésie de l'auteur que je devinais dans ce court résumé, ainsi que le genre "confession de vie" dont je me délecte.

 

Je n'ai pas été déçue, ce petit livre se dévore aussi vite qu'on imagine passer la vie : on s'attache aux souvenirs amoureux d'une vieille dame espiègle tels qu'elle les raconte à une jeune femme qui pourrait être sa petite fille lors d'un dernier voyage vers l'Italie. L'innocence, les espoirs et rêves féminins, la douleur et douceur de l'amour, les plaisirs du corps comme ceux de l'esprit, tout se mélange dans ce petit condensé de vie. Deux beaux prénoms réunis dans une confidence intergénérationnelle (Fosca et Constance), une jolie parenthèse romanesque qui nous fait aimer la vie.

 

"Poignant, passionné, impudique, (ce roman) bouleverse par la force des histoires vécues et le recul du regard posé dessus. Un véritable bijou." Le Spectacle du monde

 

"Ce livre emplit les pages, les poumons d'un air rare. Une sorte de paradis de lecture." Elle

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31 juillet 2013 3 31 /07 /juillet /2013 14:46

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Je ne suis pas une fille à maquillage en principe. Je ne suis pas du genre à me prendre la tête avec fond de teint et parfait dégradé d'ombre à paupière de bon matin. Ma cam en principe c'est juste un trait d'eye liner, un coup de mascara et puis basta.

 

Mais depuis quelques temps je prends beaucoup de plaisir à me maquiller et j'ai donc investi dans quelques pièces bien choisies et que j'utilise au quotidien.

 

Il y a d'abord la BB cream Dream Fresh de Maybelline (j'utilise la médium - FPS 30) que j'ai achetée l'été dernier. J'en utilise une petite noisette que je dispose délicatement sur chacune de mes paupières comme premier geste make-up de la journée. C'est l'effet bonne mine garanti et une excellente base pour celles qui n'ont pas besoin d'un fond de teint. Elle est très agréable à étaler, on sent son effet hydratant en l'appliquant et donne un effet totalement naturel (obligatoire pour tout maquillage selon moi). Ca a été ma découverte beauté de l'été dernier et je l'utilise quotidiennement.

 

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Puis je passe au maquillage des yeux : alors comme je vous le disais en préambule, en général pour moi il s'agit seulement d'un trait d'eye liner en poudre appliqué au pinceau (cf le plus petit biseauté que vous apercevez à droite sur la photo) et d'un coup de masacara (mon préféré depuis le mois d'avril : le Faux Cils effet Papillon de L'Oréal, que ma charmante cousine Céline m'avait glissé parmi les jolis vernis Essie).

 

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Mais depuis que je vis en coloc avec Florie, j'ai eu le plaisir de voir de près la palette Naked d'Urban Decay dont tout le monde parle. Et j'ai compris l'engouement. Cette "petite" palette au demeurant hyper pratique à trimballer partout avec soi est juste une pure tuerie niveau coloris et qualité des ombres à paupières proposées.

 

Je me la suis donc offerte à la mi-juillet (elle coûte 45€ et vous pouvez la trouver chez Sephora - quand elle n'est pas en rupture de stock - avec en bonus les 15% de réduction qu'ils offrent grâce à la Glam Roulette de l'été = 38€ seulement, cf voir lien link) et depuis je n'arrête pas de l'utiliser, créant de jolis dégradés sur mes paupières.

 

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Mes couleurs préférées ? J'étale tout d'abord à l'aide de mon deuxième pinceau sur la photo (le plus large pour toute la paupière mobile) l'ombre à paupière naturelle nommée "Naked" puis un peu de "Half Baked" sur le coin intérieur haut de l'oeil et au ras des cils du coin extérieur bas de l'oeil. Puis j'étale le colori "Buck" sur la moitié de ma paupière (vers l'oreille) à l'aide du quatrième pinceau sur la photo et enfin le "Darkhorse" au coin de l'oeil extérieur pour un petit effet smoky eyes.

 

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Et puis je me sers de mon pinceau plat (le troisième sur la photo) pour dégrader un peu et mélanger les couleurs entre elles sur ma paupière pour un effet plus naturel. Je n'ai alors plus qu'à appliquer mon eye liner en poudre noir de la marque Sephora (must have n°6) ou alors le colori "Creep" de ma palette Naked à l'aide de mon pinceau biseauté.

 

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Un coup de mascara pour finir le maquillage des yeux et parfois un peu de blush sur mes joues (j'utilise le blush me! pêche tendre n°4 de Sephora, une tuerie) appliqué à l'aide de mon plus gros pinceau (celui tout à gauche sur la photo) et me voici fin prête pour démarrer une nouvelle journée ! :)

 

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Il peut aussi m'arriver de me servir, en cas de petite rougeur ou de légers boutons, de l'infaillible correcteur 16h de L'Oréal (j'utilise le beige doré 04), le nec plus ultra selon moi !

 

Et le soir, je me démaquille à l'aide de cotons démaquillants et du démaquillant doux pour les yeux de Nivea. Puis j'aime me rincer le visage à l'eau fraîche et enfin déposer un peu de la lotion tonique apaisante Garnier à l'eau de rose, qui sent si bon.

 

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Voilà vous savez tout ! :)

 

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Petites infos concernant mes pinceaux :

- pour appliquer mon blush je me sers du pinceau "flat blush 42" de la gamme Sephora professionnel

- pour appliquer mes ombres à paupières, je me sers des pinceaux "all over shadow - paupière fin 22" (pour la paupière mobile) et "all over shadow small - paupière ultra fin 23" toujours de la gamme Sephora professionnel

- pour dégrader mes ombres à paupières, j'utilise le pinceau plat "smudge - estompeur paupière 14"

- pour appliquer mon eye liner en poudre, il s'agit du pinceau "angled liner - eyeliner biseauté 15"

 

J'en suis très contente (ayant investi dans de bons pinceaux depuis plus de 2 ans) et considère que le choix des pinceaux reste le BABA du maquillage.

 

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Comme je suis une éternelle curieuse, je serais ravie de connaître vos propres produits maquillage chouchous du moment, de toujours, et vos révélations en la matière.

 

J'attends donc avec impatience vos commentaires au bas de cet article ;)

 

Excellente journée à toutes !

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30 juillet 2013 2 30 /07 /juillet /2013 09:28

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Lors de mon dernier article running, dans lequel je vous parlais de la Trouvillaise - cette superbe course qui se déroule en bord de mer dans la charmante petite ville de Trouville-sur-Mer et à laquelle je participerai le dimanche 29 septembre prochain Connaissez-vous la Trouvillaise ? - vous avez été plusieurs à réagir et à me laisser des commentaires très instructifs en la matière.

 

J'ai ainsi été ravie de découvrir l'application Runtastic (cf lien : link) que me conseillait Coco et que j'utilise dorénavant lors de chacune de mes courses. Un grand merci à elle ! :)

 

Lors de ce mois de juillet un peu mouvementé par un déménagement, des températures très élevées et le début de mon job d'été, j'ai tout de même essayé de garder la cadence d'au moins une course par semaine et je reprends depuis peu un rythme de course tous les 3-4 jours.

 

Pour me préparer aux 6km de la Trouvillaise je me fais des sessions de 25 min de course, ce qui correspond à plus ou moins 4km, que je pense allonger lors des deux mois qui me séparent encore de la course.

 

Ce qui me plaît dans l'application Runtastic c'est le fait de voir se dessiner mon parcours, découpé par kilomètre, avec mon rythme moyen ainsi que tous les détails relatifs à l'élévation ou pente du terrain, ma sensation globale sur la course et la température extérieure.

 

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Comme je vous le disais donc, je me contente pour le moment de petites sessions de 25 min de course, mais régulières, correspondant à 4 km, que je vais tenter d'allonger progressivement lors du mois d'août.

 

C'est la première fois que je prépare une course et suis avide de conseils en la matière, n'hésitez donc pas à me proposer vos méthodes afin de se préparer au mieux.

 

Dans le genre j'ai aussi entendu parler des bienfaits de sessions de cardio entrecoupant les séances de running : c'est à dire de faire essentiellement des accélérations sur 100m puis de ralentir considérablement sur les 200m suivants et de repartir sur une accélération lors des 100m d'après, etc ... Afin de travailler mon endurance de façon plus punchy, qu'en pensez-vous ? Le pratiquez-vous déjà ?

 

Je suis également à la recherche de LA paire de basket idéale, les miennes commençant à "couiner" et à partir en lambeaux. Je ne peux pas les blâmer, elles m'accompagnent depuis une paire d'années (je crois les avoir reçues en 3° ... ahem).

 

On m'a jusque là parlé essentiellement de Nike pour investir de façon sûre dans une bonne paire de running, qu'en pensez-vous ? Avez-vous d'autres marques un peu moins onéreuses à me conseiller ?

 

Car les miennes, en plus d'être vieilles et couinantes me donnent des douleurs au niveau du dos et de la nuque après chacune de mes séances. Il me paraît donc urgent de les changer et d'investir dans une bonne paire, surtout dans mon optique de préparer de façon optimum cette première course et de me garantir les conditions idéales de course.

 

J'attends avec impatience vos avis sur la question et vous souhaite à tous une excellente journée ! :)

 

A très vite !

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